Aaron :: God had a name !

Invité

Aaron Andrew
Connor

He

© Leavesden dix-huit ans
hétéro
ne devrait pas l'aimer
Jared Padalecki

Comme je le disais, je suis née dans une petite ville paumée du Texas, près de Dallas. Dés ma naissance, mon père, Ulrick Connor, un industrielle d’une trentaine d’année et ma mère, Lilianne Connor, universitaire, m’ont donné tout l’amour possible. Je n’étais pas le première, puisqu’il avait eu quatre ans avant moi un autre garçon nommé Terence, et que deux ans plus tard naîtra Styx.
J’ai vécu une enfance heureuse, assez banale a vrai dire, puisque j’étais un jeune garçon assez doué a l’école… Mais l’heure du collège avait sonné, et m’obligeait a prendre tout les matin le bus a 6h36 pour me rendre a la grande ville la plus proche. Garçon assez solitaire, les seuls amis que j’avait était ceux de ma ville, ainsi que mes livres, que j’allais en cachette emprunter a la bibliothèque de la ville, et qui me faisait entrevoir un monde plus grand que le simple arrêt de bus de Dallas, l’endroit le plus loin où je n’avait jamais été… Mon frère quand a lui, avait réussit a se sortir de tout ça puisque très bon joueur de basket. Son statut de joueur m’offrait une protection de rêve contre les petites racailles du collège.
Alors que j’était entré au lycée depuis un an, on ne peu pas dire que l’intégration était des meilleurs: j’était de ceux qui on pas mal de chose dans la tête et pour qui étudié n’est pas un problème, de ceux que l’on croise dans un couloir et que l’on met dans une poubelle, de ceux que les autres aime martyriser, car si au collège Terence était là pour moi, il venait de partir a la fac, me laissant seul face a eux, et avec une petite sœur qui suivait. De plus, mon physique n’était pas vraiment… avantageux ! J’étais grand déjà, mais très mince, avec une coupe de cheveux pour ne pas dire inexistante, des lunettes et les vêtement d’après guerre ! En bref: le ringard de base.
Pour mes 16 ans, alors que je m’attendais au cadeau de base qu’on tout les jeunes américain a cet age, a savoir un voiture, mes parents m’ont offert le déclic. Au lieu d’un vieux tas de ferrailles qui m’aurait lâché un an plus tard, mon frère est venu directement de Seattle, des billet pour un match de basket en main. Et pas n’importe qui, quand j’y repense: les Mavericks de Dallas contre les Chicago Bulls. La foule était en délire, mon père, mon frère et moi au troisième rang, des places de choix ! Pendant tout le match j’ai été fasciné par ses silhouette s’élançant avec une telle facilitée vers le panier. Bien sure, j’avais déjà assister a des matchs, j’en avait même regardé certains a la télé, mais là…
Ce soir là, j’avais scellé un pacte avec Terence: je deviendrais un grand joueur, moi aussi. Lui un Bulls, moi un Mavericks.
En un an, j’avais plus progressé que quiconque, m’entraînant des journées entière sur la panneau de la maison. J’étais entré dans l’équipe au poste d’allié fort, j’avais prit du muscle, mon corps était bien formé, et mon style plus proche de ceux des autres joueurs que jamais. Je voyais déjà les étoiles dans les yeux de mon frère, que je ne voyais qu’une a deux fois par an. Il était énormément prit par ses études de médecine et par le sport. Mais il était toujours présent au moins pour nos anniversaire, a Styx et moi.
Un soir, en rentrant à la maison après être passé chercher ma sœur chez une amie, j’ai vu que sa voiture était dans l’allée. En passant la porte, je vis ma mère, mon père et Terence assis a la table du salon, le visage sérieux. Quelques minutes plus tard, on apprenait qu’il venait de s’engager pour l’armée en tant que médecin, et qu’il partait dans une semaine pour une mission en Irak.
Trois mois plus tard, ma mère reçu un appel. Je me souviendrait toujours de se 18 novembre. Il était 15h42. Et Terence n’était déjà plus de ce monde.
Ça a été très dure de faire face a cette perte, mais pour eux je devais me montrer fort. Mon père c’est encré dans son entreprise. Oh oui, il connaissait le succès, mais il mourrait de l’intérieur, et délaissait ma mère, complètement abattue. Et Styx… je n’arrivais plus a lire en elle, comme avant. Mais je voyais dans ses yeux qu’elle avait mal. Pouvais-je dire quelque chose ? Pas vraiment, j’étais dans le même cas. Pourtant, elle m’a aidé a faire sortir notre père de ce mutisme, et a faire retrouver le sourire a notre mère. Je crois… je crois sincèrement que ma sœur est l’une des personnes les plus fortes que je connaisse. Oui, je l’entendais parfois pleurer dans sa chambre, mais quand je rentrais, elle me donnait toujours ce faible sourire qui voulait dire bien plus venant d’elle. Un soir, j’ai compris qu’elle irait bien.
C’est peut être ça qui a fait prendre la décision de partir. Mon père parlait depuis quelques années déjà du marché grandissant de la côte Est, et nous avions tous besoin d’air. C’était avant la rentrée, et nous prenions nos marques a Tree Hill.
Ca fait maintenant trois mois que nous sommes arrivés. Nous nous efforçons tous de faire de notre mieux pour garder la tête haute. Je suis entré ici aussi dans l’équipe de basket, parce que c’était notre rêve a tout les deux, et que je veux l’honorer. Je reprends goût a la vie, en partie grâce a cette fille, Brooke Davis. Vous savez… elle est bien trop parfaite pour moi, ça je l’ai compris. Mais je n’arrive pas a faire s’arrêter mon cœur, en sa présence… alors tant pis. Je vis.

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